• Propriétaire à Paris d'un salon de thé, où l'on peut fumer le narguilé depuis octobre 2005, Abdel El Hamer n'avait pas prévu la loi anti-tabac votée en novembre 2006.

    Depuis le premier janvier et l'entrée en vigueur de cette loi, il subit la pression de la police pour mettre fin à son activité de narguilé. Une activité qui représente « 75 à 80 % de son chiffre d'affaire ». Depuis le dimanche 17 février, le patron du Houara Lounge fait une grève de la faim (comme deux autres personnes sur Paris). Il veut faire reconnaître l'impasse dans laquelle se trouvent tous les salons de thé à narguilé français.
    La vidéo, c'est ICI .

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  • Paris 14ème, rue Raymond Losserand, Abdel, un patron de salon à narguilés, a entamé une grêve de la faim. Il en explique les raisons :
    "Suite au harcèlement policier dont font l'objet les Salons à Narguilés et le parfait mépris du gouvernement à leur égard, j'ai commencé depuis samedi 16 février une grève de la faim
    Je lutte :
    - pour la survie de mon commerce, pour payer mes charges, pour nourrir ma petite famille .
    - contre la discrimination, et surtout pour ne pas être endetté

    Point presse au Houara lounge 40 rue Raymond losserand paris 14 eme contact : Christine au 0143213482

    Alors que Mr SARKOZY demande au Ministère de la Santé et au Ministère du Budget de négocier avec la plupart des entreprises concernées par le décret anti tabac, la Police commence la répression dans les Salons à Narguilés et uniquement dans les Salons à Narguilés"
    .
    J'invite les journalistes à s'intéresser au sort de tout ces patrons qui ont investi il y a peu, et à un moment où il n'était pas encore question de loi anti tabac, dans ces commerces dont le chiffre d'affaires repose uniquement sur le narguilé.
    Nicolas Sarkozy a reçu les buralistes en vue de négociations pour des aménagements à la loi, pourquoi alors le refuse-t-il aux bars à chichas qui ont bien plus légitimité à être reçus pour la bonne et simple raison que la loi vient frapper de plein fouet le coeur de leur activité professionnelle ?

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  • © Jeremie Nassif

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